Il est aujourd’hui professeur de zootechnie dans l’Enseignement Agricole Public (il tient beaucoup à «Agricole» et «Public»). Enseignant donc les techniques de productions animales, il essaie modestement d’apprendre à de futurs éleveurs à plaire aux vaches, à leur terre, à leurs concitoyens (pas toujours très éclairés sur la question)… et à survivre dans la jungle capitaliste en développant des stratégies territoriales et solidaires…» mais restons-en là.
Pour ce qui est de son activité d’écriture, il se sent plutôt proche de ce que Michel Ragon appelle la littérature d’expression populaire : «j’écris comme je respire, comme je fais mon bois de chauffage, comme je vais au boulot ou au bistrot…par nécessité et par plaisir. Ça vaut ce que ça vaut : je ne suis pas un poète, tout au plus un chétif rimeur» dit-il.